Cher SGCP,
Mon nouveau superviseur est très maussade et parfois revêche. Quand il arrive le matin, je le salue avec "bonjour". La plupart du temps il passe devant mon bureau et fait comme si je n'existais pas et parfois il dit «on verra ça». Il me traite comme si je ne connais rien car il ne me délègue pas de travail et il vérifie constamment mon travail. Je connais bien mon travail puisque j’ai 25 ans d’expérience au gouvernement. Je voudrais établir une bonne relation de travail avec lui, mais comment puis-je le faire étant donné sa disposition ? Pouvez-vous m’aider ?
On dirait que vous marchez sur des œufs avec ce nouveau superviseur. Il semble aussi que vous n'avez pas encore fait connaissance. Aborder une discussion franche avec votre superviseur peut être intimidant, surtout si vous avez peur de sa réaction. Établir une bonne relation de travail avec ce superviseur vous rendrait plus à l'aise avec lui. Je vous félicite de vouloir aborder cette discussion TLI (au début du processus / à l’échelle locale / de façon informelle).
Y a-t-il des moments de la journée où il est plus accessible? Qu'est-ce qui vous fait avoir peur de l'approcher? Quelle est votre méthode typique pour faire face à des gens revêches? Vous n'êtes pas sûr de la façon d'aborder le sujet? Travailler avec un coach de conflit peut aider à identifier les compétences de gestion de conflit que vous souhaitez améliorer et vous préparer à avoir une conversation productive avec votre superviseur.
Le coaching de conflit est un service individuel confidentiel que le Service de Gestion des Conflits et des Plaintes fournit à toute personne au sein de l'équipe de la Défense. Chaque session dure environ une heure et le nombre de sessions est spécifique au besoin du client. Le coaching est facilement accessible car il peut être effectué en personne ou par téléphone. Vous pouvez trouver les coordonnées de votre bureau SGCP dans notre site Web.
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